Maguy THIRY-
THITEUX †
Rue Naimette, 5
4000 Liège
Maguy Thiry-Thiteux, née à Landana (Angola), le 5.7.1927, apprit à écrire d’abord avec sa mère poète, puis avec Marie Gevers et enfin, à la mort de cette dernière, avec Arsène Soreil. A l’heuire actuelle, elle a publié une dizaine de recueils dont 300 poèmes pour enfants, composé le livret de l’Oratorio de Liège (prix « Ville de Liège » 1993), musique Lucette Piron, pour les 25 ans de la chorale « Les Bengalis », celui du Vitrail des Légendes (même compositeur) et une cinquantaine de quatrains illustrant un film sur la Dordogne : Au Pays d’Or des Genêts (musique de Bizet, signé Joseph Govaert), médaille d’argent au « Festival International du Film Amateur de la Cambre » à Bruxelles. En 1977, elle fonde la revue internationale de poésie det d’amitié « le Chalut » qu’elle anime toujours, en 1982, avec Berthe di Vito-Delvaux, elle co-fonde l’ASBL « Mnémosyne : Musique, Peinture et Poésie », possède quelque 150 poèmes mis en musique pour chorales et solistes par différents compositeurs dont Berthe di Vito, Lucette Piron, Raymond Micha, Albert Lomba et autres, reçoit en 1978 le prix « France-Belgique » de la 7e Biennale Azuréenne de Cannes (président du jury René Huyghe de l’Académie Française) pour un ouvrage inédit de 200 pages racontant le village gaumais de son mari de 1883 à 1923 (date à laquelle l’électricité y est arrivée) avec 500 sobriquets répertoriés ; à Montigny-le-Tilleul, en 1979, le 1er prix de poésie classique « Jules Sottiaux » et 1er prix de poésie libérée « Roger Desaise » et en 1985, celui du « Sonnet Georges Darmont ». En 2003, celui de « l’Aliance française » décerné par l’A.R.E.W.
Sa fortune : le souvenir des siens, l’amour dont l’entourent ses 16 petites-enfants et 9 arrière-petits-enfants. Aux dires de tous, confectionne les meilleures soupes du monde.